Dans un monde souvent envahi par le bruit numérique, on assiste à l’émergence d’un désir de se connecter aux racines de notre environnement. La pomme de terre bleue : Notes from the Ground, une lettre d’information créée par Veronica Gaylie, répond à ce besoin. Alors qu’il est de plus en plus facile de se sentir déconnecté de la terre sous nos pieds, The Blue Potato offre un rappel rafraîchissant de notre interconnexion avec l’espace sacré de la nature. Décrivant sa lettre d’information comme un havre mensuel pour les amoureux de la nature, les lecteurs, les écrivains et les enseignants, Gaylie cherche à offrir aux lecteurs un espace pour prêter attention et s’engager avec la terre en réfléchissant aux petits événements importants du monde et des vies qui les entourent.
À chaque édition de sa lettre d’information, les abonnés ont droit à une riche tapisserie de contenu, comprenant des réflexions, des recommandations de livres, des sections “comment faire” et des incitations à l’écriture sur l’environnement. Mais au fond, The Blue Potato est plus qu’une simple lettre d’information ; c’est une invitation à être un gardien de la terre. Il incite les lecteurs à approfondir leurs connaissances, à aller au-delà d’un monde en constante évolution et à s’engager dans la résilience et la cohérence de la nature.
La vision de Veronica Gaylie pour The Blue Potato va toutefois au-delà de ses pages numériques. Elle envisage d’en faire une communauté, un lieu de rencontre pour les personnes partageant les mêmes idées et passionnées par la gestion de la terre et l’éducation à l’environnement. Par le biais d’ateliers, d’interviews et de projets de collaboration, elle espère continuer à construire et à développer sa communauté sur The Blue Potato.
À la fois écrivain et éducatrice, Gaylie reconnaît l’importance d’inculquer à la prochaine génération l’amour et le souci de l’environnement. Pour elle, il ne s’agit pas simplement d’enseigner des faits sur le changement climatique ou la pollution de l’air, mais de “faire place à l’émerveillement et à un sentiment de crainte”, selon Gaylie. Elle insiste sur l’importance pour les enseignants d’inculquer à leurs élèves un intérêt pour le monde naturel qui se prolonge au-delà de la salle de classe.
Vous vous demandez pourquoi Gaylie a choisi de nommer sa lettre d’information “The Blue Potato” ? Abonnez-vous à sa lettre d’information ci-dessous et restez à l’écoute de son prochain numéro, qui vous expliquera les raisons de ce choix !